• Synopis :

    Synopsis :

     

    Après une soudaine bataille dont le clan de M, Eien, un clan redouté par sa puissance, ne se souvient pas, ils décident de partir à la recherche du commanditaire de l’attaque et de venger leurs amis morts au combat. Ils partent à la recherche d’un ennemi commun dont ils ne connaissent rien… du moins, ils le pensent…

    Retrouver M, ses amis et frères d’armes dans une quête incroyable à la recherche de la cause de leur malheur. Que vont-ils trouver à l’amont de toute cette affaire ? Que ce passe-t-il réellement dans cette région ?

    Vous le saurez en suivant les aventures de ce clan au cœur de la tourmente !

    Bonne lecture, et n’hésitez pas, toutes critiques sont bonnes à prendre.

     

    Prologue : Where it all switched…

     

    Le clan auquel j’appartiens et duquel je suis le chef s’appelle Eien, ce qui signifie l’Eternité. Nous sommes une cinquantaine de membre, en totale entente. Aucune brouille n’éclate jamais dans nos rangs, nous sommes soudés et unis comme un seul Pokémon. A peut-être trois exceptions près nous sommes tous d’espèces différentes.

    Il y a bien des gens qui spéculent sur notre nom. Mais leurs points de vie ploient bien vite sous l’ampleur de nos attaques. En général, nous ne cherchons pas les batailles ou autres guerres. Mais il arrive parfois qu’il faille nous battre. Critiquer notre nom et nous serons sans pitié. Insultez notre clan, et notre puissance se déchaînera sur vous et les membres de votre clan. Ridiculisez notre nom, et le votre disparaîtra de l’histoire.

    Mais, en contre partie, nous pouvons être clément, de bonne entente et de bon allié. Enfin, il vaut mieux pour vous. Nombre de clan sont nos amis, mais nombreux sont ceux qui ont essayé de nous berner. Ils sont poussière à présent.

    Je me souviens des grands banquets et autres réceptions qui se déroulaient en nos terres. La visite de nos amis, de clan plus ou moins éloignés, était toujours un bonheur et un savoureux plaisir. Lorsque l’on nous connaît mieux, on peut voir que nous avons bon cœur. Chacun d’eux le savait. Et nous aussi  nous percevions au plus profond d’eux, nous les connaissions vraiment. C’est pour cela que nous leur offrions notre amitié.

    Notre dernier banquet était organisé pour recevoir nos amis du clan Haru, le printemps, notre plus puissant allié, le jour de l’équinoxe. Leur jour de pleine puissance. (Nos noms ne sont pas que des noms banals. Il faut savoir que nos noms ont un rapport avec notre puissance.) Nous étions dans une telle entente qu’aucun d’entre nous n’aurait pu croire ou même prédire la suite des événements, personne ne l’aurait pu.

    Nous passâmes une heure à festoyer comme des rois, à manger des baies, des plante et en buvant de l’eau fraîche et la spécialité de la région le jus de Papaya, - de la baie du même nom. Tout ce passait dans le meilleur des mondes, quand soudain tout bascula.

    Je crus voir la fin du monde, et j’en avais vu des choses. Des flammes volaient de toutes parts, la foudre s’abattait sur nos tentes disposées en croissant de lune non loin de là. Le feu illumina la fin d’après-midi, nos affaires s’enflammaient, et la fumée partit en volutes épaisses vers le ciel devenant de plus en plus couleur suie. Le couché de soleil avait disparu, notre joie aussi.

     

    La mémoire me fait défaut sur la suite de la bataille, mais je présume que notre clan la remportée au prix de nombreux sacrifices et pertes Pokémons irremplaçables. Moult questions sonnaient dans nos têtes : « Pourquoi ? », « Comment était-ce possible ? » ou encore et surtout : « Pourquoi nos amis nous feraient-ils cela ? »

     Nous n’étions plus qu’une dizaine sur la haute corniche surplombant la falaise et nous avions le regard plongé dans l’océan qui s’étalait à perte de vue. Un orage grondait au dessus de nos têtes, et la pluie coulait sur nous, comme nos larmes sur nos joues sales. Chacun d’entre nous était en deuil. En deuil, d’avoir perdu des amis, et surtout des frères.

    Nous n’en resterions pas là, nous l’avions juré sur le nom de nos amis, et frère perdus. Nous étions comme obligés de le faire, pour leur rendre hommage une dernière fois. Soudain, n’y tenant plus j’élevais la voix, comme pour que chacun entende le serment que l’on n’osait dire :

    -Je suis M, et je le jure sur mon nom, et celui de notre clan. Nous ne laisserons pas passer cette attaque et cette traîtrise. Nous vous vengerons ! hurlais-je de toutes mes forces au vide de la nuit.

    Pendant que l’écho et le noir presque total avalait mon cri, une lueur vengeresse brillait dans nos yeux… 


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :